MignatteLe Copiste de Monsieur Beyle

Ernest Mignatte

Prix du Festival du Premier Roman de Chambéry

Comment Stendhal a-t-il pu écrire La Chartreuse de Parme en cinquante-trois jours seulement ? Génie mis à part, il y a dans cette composition fulgurante un tour de force qui a fait rêver bien des critiques et des lecteurs… Or on vient de retrouver le journal intime du copiste auquel il avait dicté son roman. Ce précieux document, publié ici pour la première fois, apporte des révélations de première importance sur l’écriture de La Chartreuse comme sur la personnalité d’Henri Beyle. Il lève le voile sur les secrets de sa création et sur certains aspects étonnants de son existence quotidienne. Que fait Monsieur Beyle, chaque après-midi, lorsqu’il s’absente du 8, rue Caumartin ? Le copiste est-il un mystificateur ?

Ce journal nous fait entrer dans l’univers de Stendhal et des cercles littéraires du XIXe siècle.

Date de parution : 30/08/1998

Le Nouvelliste
Un vertigineux jeu de miroirs pour un premier roman particulièrement jouissif.

Le Canard enchaîné
Sans son fidèle copiste, à qui il dictait en marchant de long en très peu large au quatrième étage de son logis à la rue Caumartin, Stendhal n’eût pas écrit “La Chartreuse de Parme” en 53 jours.

Le Temps
On lit avec délices ce canular allégrement troussé par Ernest Mignatte, maître du pastiche.

L'Hebdo
Sous le pseudonyme d’Ernest Mignatte, un universitaire romand publie un petit livre diabolique sur la naissance de “La Chartreuse de Parme”.